
Il n’est point besoin de le souligner. Sous les tropiques, le désert nous bouscule au quotidien. Il est donc conseillé aux populations d’entretenir des plans pour contrer son avancée et donner, ne serait-ce qu’un peu d’air, à une ville comme Ouaga. Devant les concessions, dans les espaces publics, le long des rues et sur les terre-pleins, les citoyens ou les services techniques municipaux font de leur mieux pour planter et entretenir des plans qui sont les poumons de la ville face à la pollution. Ce sont des fleurs et des plantes ornementales qu’on plante à ces endroits. Seulement, il y a des actions qui sont contreproductives.

Sur ces deux images, nous sommes sur l’avenue Mamadou Simporé, l’avenue qui passe devant l’Office national d’identification sis à Ouaga 2000. Les usagers ne voient pratiquement pas qui vient en face. Les arbres situés sur le terre-plein bouchent la vue. Mais la plus grosse difficulté qui constitue un véritable danger pour tous les usagers, c’est lorsqu’un usager veut tourner sur sa gauche. Il faut presque s’avancer sur l’autre chaussée pour voir qu’il n’y a pas d’obstacle avant de pouvoir manœuvrer. Un acte périlleux. Il faut abattre ces arbres pour les remplacer par des fleurs ou des plantes ornementales.
Lougouvinzourim
Hello mon frère !
Pas besoin de les abattre. C’est du a un manque d’entretien: il suffusait seulement de tailler les branche du bas pour laisser ces arbres tirer en hauteur et le tour es joue.
Voila un travail pour la commune et les nouveaux maires.
Au lieu de penser seulement aux lotissement ou ils profitent beaucoup 🙂